Oblivion : Histoires oubliées de Tamriel

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La prison

S'krivva vous demande de suivre la piste d'un autre voleur de la guilde, un certain Theranis, qui avait pour mission de rapporter un livre. Partez pour Skingrad et questionnez un mendiant à ce sujet. Vous apprenez que Theranis a été incarcéré. Vous vous mettez en route pour la prison, histoire de tirer votre confrère du pétrin.

Arrivé à la prison, vous découvrez un garde peu commode qui refuse toute visite. Fouillez ces poches pour obtenir les clés, ou crochetez discrètement la porte. Parlez ensuite au seul prisonnier. Promettez lui d'ouvrir la porte contre des renseignements (libre à vous de tenir parole). Votre collègue et un "argonien" ont été enlevé par une étrange "dame pâle".

La dame pâle

Suivez les traces de sang sur sol, activez le passage secret (chandelier doite). A partir de là, mieux vaut attendre minuit. Suivez les traces de sang à travers les galleries, activez les passages secrets jusqu'à la cave à vin. Une fois le grand tonneau central ouvert, équipez-vous pour combattre la "dame pâle". Vous l'avez peut être deviné, il s'agit d'un vampire (son meurtre est donc nécessaire et excusable).

Examinez le corps de Theranis, récupérez la clef de la cellule et ouvrez la porte à Amusei (l'argonien qui désirait entrer dans la guilde en même temps que vous). Il acceptera de vous dire où se trouve le livre, si vous le faites évader.

L'évasion

Si vous êtes bien parti à minuit, parcourez le château discrètement (en suivant la boussole), passez par la cour, puis franchissez le (très long) pont sans vous faire repérer. Attention, n'entrez surtout pas en ville, les gardes vous arrêterait en vous voyant avec Amusei. Une fois franchit la dernière porte, marchez encore un peu dans la plaine.

Une fois en sécurité, Amusei vous dira où se trouve le livre que vous cherchez. Allez le récupérer, puis retournez à Bravil pour le remettre à S'krivva.

Note : en traversant le château avec Amusei, vous pourriez rencontrer des gens prostrés de peur, ce ne sont pas des gardes, mais c'est mauvais signe.