Différences entre les versions de « Oblivion : Le chevalier incontrôlable »

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Les habitants de Cheydinhal s'inquiètent (voir panique complètement) car une porte d'Oblivion s'est ouverte juste à l'ouest de la ville. En allant faire un tour à proximité, on apprend que Farwyl Indarys, le fils du comte de Cheydinhal, a traverser la porte avec ses 6 autres camarades des "chevaliers de l'épine". Présenté par Farwyl comme une troupe de chevaliers d'élite, il s'agit surtout d'une bande de têtes brûlées dont la principale occupation consite à se vanter, sans sortir l'épée du fourreau. Quoiqu'il en soit, vous voilà partit pour une scéance de baby-sitting des plus sportive. En effet, après quelques passages "dans" le sol, quelques cadavres de l'émérite ordre de , on se retrouve au pied de la forteresse, et ô surprise, on retrouve notre champion accompagné du dernier survivant de sa fameuse troupe. (au passage il a trucider quatre douzaines de vilains méchants, et une marmotte à dû lui offrir du chocolat).
Les habitants de Cheydinhal s'inquiètent (voir paniquent complètement) car une porte d'Oblivion s'est ouverte juste à l'ouest de la ville. En allant faire un tour à proximité, Amminus Gregori, un garde,  vous apprend que Farwyl Indarys, le fils du comte de Cheydinhal, a traversé la porte avec ses 6 autres camarades des "chevaliers de l'épine". Présenté par Farwyl comme une troupe de chevaliers d'élite, il s'agit surtout d'une bande de têtes brûlées dont la principale occupation consite à se vanter, sans sortir l'épée du fourreau. Quoiqu'il en soit, vous voilà parti pour une scéance de baby-sitting des plus sportive. Votre objectif : rammener Farwil en vie ou, si vous n'y arrivez pas, rammener son anneau au comte de Cheydinhal, comme preuve de sa mort.


Malheureusement, le guss ne veux pas rentrer gentillement par la porte, il tiens à vous accompagner jusqu'a la pierre sigillaire ! (dans un élan de bravoure il vous propose de vous couvrir pendant que vous attaquerez de front) C'est là que la véritable partie commence, car ces deux tarés foncent dans le tas dès qu'il y'a ennemis en vu ! alors pour les tenir en vie, le seul moyen est de tuer les ennemis plus rapidement que eux ne se font démolire. A leur décharge, il faut reconnaitre qu'ils ne sont pas empotés : ils sont plutot solides et frappent assez fort, mais leur soif de combat les rends parfois difficile à suivre (ne pas oublier de les soigner dès que c'est possible, les pauvres ont pas un stock illimité de potions). Enfin bon, si vous arrivez à garder Farwyl en vie jusqu'a la pierre, il vous fera en sortant d'Oblivion,  membre honorifique des chevaliers de l'épine *quelle joie....*(avec en cadeau une amulette qui fortifie.. devinez quoi ? L'éloquence ! Si si si.
Après quelques passages "dans" le sol, la découverte de quelques cadavres de l'émérite ordre, on se retrouve au pied de la forteresse, et ô surprise, on retrouve notre champion accompagné du dernier survivant de sa fameuse troupe (au passage il a trucidé quatre douzaines de vilains méchants, et une marmotte à dû lui offrir du chocolat).


bref, allez voir le comte qui, en reconnanssant les travers des son fils et la difficulté de le maintenir en vie, vous est extremement reconnaissant. ça fait plaisir de voir quelqu'un qui comprend la peine par laquelle il a fallut passer afin de sauver la peau de ce crétin téméraire. En récompense, il vous offre le choix entre une épée ou un bâton, tout deux faisant parti du trésor famillial. En tout cas, on fini heureux parce les deux sont surpuissantes (le choix sera d'ailleurs difficile). Et voilà, les efforts déployés n'aurons pas été vains !
Malheureusement, le guss ne veux pas rentrer gentillement par la ''Porte'', il tient à vous accompagner jusqu'à la pierre sigillaire (dans un élan de bravoure, il vous propose de vous couvrir pendant que vous attaquerez de front) ! C'est là que la véritable partie commence, car ces deux tarés foncent dans le tas dès qu'il y a ennemi en vue ! Alors pour les tenir en vie, le seul moyen est de tuer les ennemis plus rapidement que eux ne se font démolir. A leur décharge, il faut reconnaitre qu'ils ne sont pas empotés : ils sont plutot solides et frappent assez fort, mais leur soif de combat les rends parfois difficile à suivre (ne pas oublier de les soigner dès que c'est possible, les pauvres ont pas un stock illimité de potions). Enfin bon, si vous arrivez à garder Farwyl en vie jusqu'a la pierre, en sortant il vous fera membre honorifique des chevaliers de l'épine *quelle joie....* (avec en cadeau une amulette qui fortifie.. devinez quoi ? L'éloquence ! Si si si).
 
Bref, allez voir le comte qui, en reconnaissant les travers de son fils et la difficulté de le maintenir en vie, vous est extremement reconnaissant. Ca fait plaisir de voir quelqu'un qui comprend la peine par laquelle il a fallu passer afin de sauver la peau de ce crétin téméraire. En récompense, il vous offre le choix entre la ''Lamépine'' ou le ''Bâton d'Indarys'', tout deux faisant parti du trésor famillial. En tout cas, on fini heureux parce que les deux sont surpuissants (le choix sera d'ailleurs difficile). Et voilà, les efforts déployés n'auront pas été vains !
 
* '''Astuce :''' ''la survie de Farwil et de son compagnon Bremman Senyan est fort improbable si vous n'êtes pas un grand guérisseur ou un combattant rapide, fort et précis ("J'aime combattre en mélée avec des alliés !"). De plus, ils ont une fâcheuse tendance à suivre l'ennemi s'il tombe dans la lave (ce qui pourra vous poser des problèmes pour récupérer l'anneau). Il est toutefois possible de tricher un peu. Dès qu'un combat est engagé, foncez sur la porte menant à la salle suivante. Soit les lieux sont vides et les deux chevaliers vous suivent peu après, soit il y a des adversaires et vous devrez profiter du peu de temps où vous êtes seul pour faire le ménage. C'est dur à décrire mais je suis sur que vous verrez ce que je veux dire une fois dans le jeu. Autrement, un sort ou un poison de paralysie judicieusement employé '''sur les ennemis''' pourra considérablement augmenter leurs chances de survie.''

Version du 1 juin 2006 à 08:06

Les habitants de Cheydinhal s'inquiètent (voir paniquent complètement) car une porte d'Oblivion s'est ouverte juste à l'ouest de la ville. En allant faire un tour à proximité, Amminus Gregori, un garde, vous apprend que Farwyl Indarys, le fils du comte de Cheydinhal, a traversé la porte avec ses 6 autres camarades des "chevaliers de l'épine". Présenté par Farwyl comme une troupe de chevaliers d'élite, il s'agit surtout d'une bande de têtes brûlées dont la principale occupation consite à se vanter, sans sortir l'épée du fourreau. Quoiqu'il en soit, vous voilà parti pour une scéance de baby-sitting des plus sportive. Votre objectif : rammener Farwil en vie ou, si vous n'y arrivez pas, rammener son anneau au comte de Cheydinhal, comme preuve de sa mort.

Après quelques passages "dans" le sol, la découverte de quelques cadavres de l'émérite ordre, on se retrouve au pied de la forteresse, et ô surprise, on retrouve notre champion accompagné du dernier survivant de sa fameuse troupe (au passage il a trucidé quatre douzaines de vilains méchants, et une marmotte à dû lui offrir du chocolat).

Malheureusement, le guss ne veux pas rentrer gentillement par la Porte, il tient à vous accompagner jusqu'à la pierre sigillaire (dans un élan de bravoure, il vous propose de vous couvrir pendant que vous attaquerez de front) ! C'est là que la véritable partie commence, car ces deux tarés foncent dans le tas dès qu'il y a ennemi en vue ! Alors pour les tenir en vie, le seul moyen est de tuer les ennemis plus rapidement que eux ne se font démolir. A leur décharge, il faut reconnaitre qu'ils ne sont pas empotés : ils sont plutot solides et frappent assez fort, mais leur soif de combat les rends parfois difficile à suivre (ne pas oublier de les soigner dès que c'est possible, les pauvres ont pas un stock illimité de potions). Enfin bon, si vous arrivez à garder Farwyl en vie jusqu'a la pierre, en sortant il vous fera membre honorifique des chevaliers de l'épine *quelle joie....* (avec en cadeau une amulette qui fortifie.. devinez quoi ? L'éloquence ! Si si si).

Bref, allez voir le comte qui, en reconnaissant les travers de son fils et la difficulté de le maintenir en vie, vous est extremement reconnaissant. Ca fait plaisir de voir quelqu'un qui comprend la peine par laquelle il a fallu passer afin de sauver la peau de ce crétin téméraire. En récompense, il vous offre le choix entre la Lamépine ou le Bâton d'Indarys, tout deux faisant parti du trésor famillial. En tout cas, on fini heureux parce que les deux sont surpuissants (le choix sera d'ailleurs difficile). Et voilà, les efforts déployés n'auront pas été vains !

  • Astuce : la survie de Farwil et de son compagnon Bremman Senyan est fort improbable si vous n'êtes pas un grand guérisseur ou un combattant rapide, fort et précis ("J'aime combattre en mélée avec des alliés !"). De plus, ils ont une fâcheuse tendance à suivre l'ennemi s'il tombe dans la lave (ce qui pourra vous poser des problèmes pour récupérer l'anneau). Il est toutefois possible de tricher un peu. Dès qu'un combat est engagé, foncez sur la porte menant à la salle suivante. Soit les lieux sont vides et les deux chevaliers vous suivent peu après, soit il y a des adversaires et vous devrez profiter du peu de temps où vous êtes seul pour faire le ménage. C'est dur à décrire mais je suis sur que vous verrez ce que je veux dire une fois dans le jeu. Autrement, un sort ou un poison de paralysie judicieusement employé sur les ennemis pourra considérablement augmenter leurs chances de survie.